"Ingénieurs pour la Terre" : n°2

Retour d' "INGENIEURS POUR LA TERRE 2" !

Convivialité, solidarité et réflexion à nouveau au programme! 

💪 Ingénieurs et Sportifs de Haut Niveau :
Plusieurs diplômés de l'ISA ont mené de front des carrières sportives de haut niveau et leurs études d'ingénieur, dans des disciplines variées comme le hockey sur gazon, le vélo, et le football américain. Ils témoignent de la flexibilité de l'ISA et des valeurs développées grâce au sport (rigueur, dépassement de soi, esprit d'équipe).

🤝 Des Parcours Solidaires :
Certains ingénieurs ont lié leurs activités sportives à des causes humanitaires, comme Damien Fagoo lors de la Race Across America pour une association soutenant des enfants atteints de cancer, et Bastien Dicque lors de son tour d'Europe à vélo pour Mécénat Chirurgie Cardiaque.

🌱 Passionnés d’Environnement :
Le magazine met en avant des élèves-ingénieurs et une jeune diplômée dont les parcours et projets professionnels sont axés sur les problématiques environnementales (agroalimentaire durable, transition énergétique, développement de projets agrivoltaïques). Ils expliquent leur choix de l'ISA pour son approche pluridisciplinaire et ses opportunités de stages et d'engagement associatif liés à l'environnement.

🎒 Des Nouvelles de la Formation d’Ingénieurs sont mentionnées avec l’Apprentissage et le Contrat de Professionnalisation : Un article retrace l'évolution de l'apprentissage à l'ISA depuis la création de la formation INGALT (INGénieurs en ALTernance) en 2010. Il souligne la reconnaissance de ce parcours par la Commission du Titre d'Ingénieur (CTI) et la diversification des profils d'apprentis.

🎒Après plusieurs années fastes, la recherche d'emploi et d'alternance devient plus difficile? A travers l'AIPArrainage et les nombreuses offres d'emploi, alternance et stage, l'AI adapte son offre.

🏆 L'ISA, une École d’Ingénieurs depuis 1963 :
Cet article revient sur une étape importante de l'histoire de l'ISA, notamment le premier jury de diplôme et l'évolution du nombre d'étudiants et de leur origine géographique et sociale. En 1968, sur 150 élèves de première année, on comptait 50% de fils d'exploitants agricoles, 66% originaires du Nord-Pas de Calais, 10% de filles et deux étudiants togolais. L'article mentionne la reconnaissance de l'ISA par l'État en 1968, ouvrant des perspectives pour les diplômés.

Enfin ce numéro s'est enrichi d'une nouvelle rubrique : L'entretien de l'AIISA, pour donner la parole à des voix qui comptent dans nos secteurs d'activité.

En une phrase? Nous continuons à tisser des liens forts non seulement avec nos diplômés actuels mais aussi avec nos futurs ingénieurs, confiants en l'avenir de notre identité.

Nous vous souhaitons une excellente lecture!